Vivre d'amour
et de poésie

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

Rechercher

Je m’appelle May. Je suis la fondatrice de Les mots à l’affiche

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Et vous, en quoi croyez-vous ? 

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On s’y dévoile vulnérables et sincères. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Mini bilan de janvier

 

Photographies Les pies voleuses

J’attendais le mois de février avec impatience. Parce que le mois de février, c’est le mois de l’amour, des belles rencontres et des beaux sentiments. C’est l’amour qui clignote en rouge en majuscule.

Et parce que, bien sûr, tout ça raisonne tellement avec Les mots à l’affiche. J’attendais le mois de février pour vous parler d’une affiche sur l’amour et des souvenirs qui fondent un couple (vous savez toutes ses premières fois qui vous semblent incroyables et qui vous rappellent comme la vie est précieuse !), pour esquisser aussi une toute première affiche sur l’amitié (parce que l’amitié, c’est de l’amour après tout !), et aussi imaginer des affiches avec l’année d’anniversaire de la relation (parce que je prends, chaque année, beaucoup de plaisir de voir tout ce début de chemin que l’on a parcouru ensemble) .

J’ai des idées qui débordent, qui me font sourire et qui me rappellent comme c’est doux d’écrire sur des sentiments aussi positifs et joyeux. Comme j’ai envie que Les mots à l’affiche continuent de grandir et de vous accompagner, de créer votre réalité. Je suis littéralement entourée d’amour.
Dans l’ombre, je manque un peu de temps. J’ai commencé, début janvier, des beaux projets coté agence. J’accompagne trois personnes talentueuses au niveau de leur communication. C’est chouette, c’est doux, c’est créatif !

On est donc le 31 et rien n’est vraiment prêt comme je l’aurais imaginé. Janvier est passé bien trop vite. Mais voilà, on va dire que je vais faire au mieux et que ça ira. Et puis, en 2019, on ralentit. C’est affiché sur mon mur en face de mon bureau, je ne peux pas l’oublier. Alors, voilà, en 2019, on trouve son équilibre et on rythme interne (et on se dit des mots d’amour, beaucoup de mots d’amour !), d’accord ?

Une affiche pour se dire oui

Quand on me demande ce qui me rend profondément heureuse dans la vie, je réponds souvent, que c’est de rendre des personnes justement heureuses. Oui, de les aider à prendre confiance en elles. De les accompagner à croire en elles et en leurs rêves. Que oui, c’est ça qui me meut. Ca, et bon, les câlins d’Hollynette aussi.

C’est d’ailleurs le fil conducteur entre le coté agence où j’accompagne des créateurs et des entreprises et Les mots à l’affiche.

Chaque fois que vous adoptez l’affiche « oui », je me dis que je distribue, grâce à vous, à ma toute (toute) petite échelle un peu d’amour et de belles intentions. Et alors, j’ai mon cœur qui fait des boums et des bangs. Je sais, à ce moment-là, que je suis alignée avec ma mission secrète.

Et vous, dites-nous, c’est quoi qui vous rend profondément heureux ?

Affiche naissance (cadeau)

Cette affiche naissance est sûrement une des affiches que j’ai eu le plus de mal à écrire. Peut-être parce que je ne suis pas maman – enfin, si on considère qu’Hollynette ne compte pas vraiment – et que je n’ai pas d’enfants, non plus, dont je suis proche dans mon entourage.

Il a fallu aussi me demander, sincèrement, ce que je souhaiterais à un enfant. J’ai listé mes essentiels, ce qui m’a semblé essentiel pour me construire et m’épanouir. Les valeurs et les conseils que j’aimerais transmettre ou que j’aurais aimé que l’on me murmure. Puis, doucement, j’ai essayé de faire le tri.

Quand j’écris j’ai souvent peur d’être à coté et de ne pas connaitre les mots justes. C’est une question qui revient d’ailleurs souvent quand j’écris : est-on légitime pour écrire sur un sujet qui ne nous concerne pas ?

J’imagine, je crois, que oui – et cela fait d’ailleurs partie de la magie de la littérature. Mais parfois et malgré tout, je doute – comme parler à la première personne et employer le mot « littérature » dans la même phrase.

Cette affiche est sûrement l’affiche où j’ai eu, finalement, le plus de retours et que j’ai envie d’offrir à chaque naissance comme cadeau. Merci d’être là et pour vos mots.

Vous pouvez adopter l’affiche naissance enfant epar ici.

Les points de vente

Alors, ça fait quoi de savoir ces mots dans des jolis points de vente ?

Ça fait sourire et rougir les joues. Ça fait battre le cœur un peu plus fort et ça fait sursauter à chaque fois que je passe devant la vitrine et que je me trouve, tout à coup, nez à nez avec mes mots.
Ça me rappelle que cette aventure est complètement folle, magique et incroyable.

 

 

La vie au ralenti

Je suis un peu moins par ici depuis quelques jours.

Entre vos colis, je suis dans les chiffres et les tableurs. J’ai mis la tête dans la comptabilité. Je me bouscule. Je compte. Je note. J’ajoute. Je déduis. Je scanne. Je me trompe. Je rature. Je recommence. J’envoie des mails avec des points d’interrogations et où je crois que l’on peut deviner ma tête affolée entre les lignes.

J’essaie de prévoir et de tenir ma promesse de ralentir, de vivre au ralenti. Alors, comme ça me fait un peu peur. Je me console en me disant qu’un prévisionnel est l’endroit là où on peut s’autoriser à rêver. Alors, je gribouille mes rêves pour les mois à venir. J’imagine des nouvelles affiches, des nouveaux formats, peut-êtres des nouveaux supports. Je rêve de points de vente dans des jolies villes.

C’est doux et cela fait battre le cœur un peu plus fort.

Dites, vous rêveriez un peu avec moi et vous me raconteriez comment vous imagineriez Les mots à l’affiche dans un an ?

Manifeste de l’entrepreneur

 

Cette affiche, ce manifeste de l’entrepreneur – et plus largement de l’entreprenariat – , c’est celle que j’ai choisi d’accrocher au dessus de mon bureau. C’est aussi celle que j’offre souvent comme un coup de pouce, pour dire « bon envol, je crois en toi, crois en toi aussi, tu es fort et tu vas y arriver ».

Cette affiche « oser entreprendre« , c’est celle que je lis à chaque fois que je lève la tête, quand j’ai besoin, parfois aussi, de me recentrer ou d’un coup de pouce. C’est ma formule magique d’entrepreneuse.

Et à travers ces mots, je pense à vos mots, en échos, qui me disent parfois merci : merci d’avoir oser te lancer, merci de me rappeler qu’il est possible de réaliser ses rêves – ou tout au moins d’essayer.
Parce que, oui, si j’ai sauté de la falaise, je suis convaincue que tout le monde peut sauter de la falaise – je suis une très très très grosse peureuse.

Me dire que je peux inspirer (même de très loin et un peu vaguement) est, sincèrement, le plus merveilleux des cadeaux.

Vous pouvez commander le manifeste de l’entrepreneur par ici.

Et si, on osait croire en ses rêves ?

 

J’ai terminé l’année en me promettant d’oser : d’oser voir en grand, d’oser rêver, d’oser dire que là, oui, je ne sais pas et demander de l’aide.

Je me suis alors rendue compte de deux choses : la première est que souvent, très souvent même, c’est moi qui m’impose mes propres limites.

J’en parlais encore vendredi avec Emilie  de Je me pause où je lui confiais admirer son parcours, sa force et son déterminisme. Je lui disais que je l’admirais parce qu’elle ose croire et rêver en géant. Que moi, je plantais des minuscules graines. Que oui, je rêvais de jolis points de vente bien sûr mais que je mettais entre parenthèses des noms comme chez Merci ou Le bon marché. Que c’était un rêve qui me semblait, encore, un peu trop lourd à porter sur mes épaules. C’est un peu bête, c’est un rêve. Ça ne se porte pas, ça se regarde voler tout seul et ça fait briller les yeux.

La deuxième chose est que beaucoup de personnes sont ravies de m’aider et de m’accompagner. Je le remarque d’ailleurs, à chaque fois, que je vous demande les joues rouges si vous pourriez déposer un avis sur Les mots à l’affiche parce que je sais combien c’est important et précieux.
Cela peut sembler évident d’ailleurs. Dès que l’on prend un peu de recul, on sait tous comme on aime donner un coup de main et se sentir utile. Comme c’est gratifiant qu’une personne nous fasse assez confiance pour nous demander de l’aide.

Alors, en 2020, j’ai décidé d’oser et de rêver en lettres capitales. Ce week-end, j’ai pris le temps. Je n’ai pas encore fini. J’écris, je liste. J’imagine les journées parfaites, la vie qui illumine et des intentions qui font briller mes yeux. Je rêve les douze prochains mois et c’est déjà beaucoup.

Et vous, quels sont vos rêves et intentions pour 2020 ?

Et coucou !

Et, COUCOU !

Quand j’ai commencé à travailler sur la boutique, puis le catalogue pour les boutiques et le dossier de presse ; à chaque fois que je l’envoyais à une personne pour avoir ses retours ; elle me répondait, c’est bien, mais il faudrait une petite photographie de toi quand même. Cela me faisait sourire parce que justement, c’est ce que je répète toujours à mes clients à l’agence : « il faut, au moins une, même une petite – toute petite -, photographie de vous ». C’est important de mettre un visage sur un projet, c’est important parce que ça rassure, parce qu’un projet est rien sans la personne qui le fait vivre. Et voilà, je tombais dans le piège. J’ai 140 523 photographies dans mon ordinateur mais aucune de moi qui me semblait utilisable et de face.

Alors, en décembre, en même temps qu’Emilie Massal prenait des photographies des affiches, je lui ai demandé timidement de prendre un portrait de moi. Je sauterai les étapes d’auto-flagellation quand j’ai découvert les photographies, d’accord ?

Et, donc, COUCOU ! (et vous, vous avez un joli portrait de vous ?)