Vivre d'amour
et de poésie

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

Rechercher

Je m’appelle May. Je suis la fondatrice de Les mots à l’affiche

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Et vous, en quoi croyez-vous ? 

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On s’y dévoile vulnérables et sincères. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Maternité et entreprenariat

Depuis la naissance de mon enfant, j’ai beaucoup de mal à écrire.

L’écriture a toujours été un moment unique, lent et hors de mon quotidien. Il me demande d’être seule, au calme, et sans interruption. C’est un état quasi méditatif que je retrouve dans la course à pied.

Je dois être dans un lieu à moi – espace physique et mental – protégée de toute interruption. Je coupe mon téléphone et mes notifications. Je ferme ma porte. Si vous avez un enfant, vous devez sourire à ce moment-là, et savoir.

Avant sa naissance, je m’étais promis de lui écrire et de conserver une trace de ses premiers mois précieux – cette publication de Sophie Astrabie m’a rappelé mon désir de le faire cette semaine. J’avais acheté un carnet avec écrit Livret de famille sur la couverture. Il est encore vierge.

Mon fils a eu six mois hier. Je lui ai très peu écrit. Je sens déjà que j’oublie – et enfoui – beaucoup de choses. Je voudrais pouvoir lui raconter quand il sera plus grand. Si je prends des photographies avec mon iPhone, mon reflex reste posé sur l’étagère. Je manque de temps et la création demande du temps.

Depuis le début de l’année, j’ai recommencé à courir avec l’objectif de m’offrir deux ou trois fois par semaine une heure à moi – je coupe toutes les notifications et je respire. Si c’est toujours dur de reprendre physiquement après un long arrêt, je savoure chaque sortie comme un cadeau que je m’offre.

Hier, j’ai écrit quelques lignes à mon fils pour la première fois depuis des mois.

La mécanique des mots semble un peu rouillée et j’ai pourtant l’impression de me retrouver et de retrouver ce qui me meut depuis mon enfance.

J’ai aussi beaucoup de mal à créer et partager mon quotidien que cela soit ici, ou sur les réseaux sociaux. S’il est doux et tendre, je crois que je suis pour la première fois de ma vie plus dans le faire que dans l’observation et l’analyse. C’est une drôle de sensation. Je sens que je suis dans le monde, que j’en fais partie. Je suis passée d’observatrice à actrice.

J’ai hâte de retrouver quelques moments plus calmes pour écrire, pour vous écrire et pour créer.

2025, de la tendresse

Chaque année, en janvier, je choisis le mot qui me guidera, et éclairera mes décisions pour les douze mois à venir. Cette année, j’ai choisi le mot tendresse. Ce mot qui s’est invité au centre de mon quotidien depuis la naissance de mon enfant. 

En 2025, je vous souhaite de la tendresse comme rempart protecteur face au reste du monde. De la tendresse face à l’injustice, la violence et le quotidien qui semble parfois vous engloutir. 
Je vous souhaite, envers et contre tout, de la tendresse envers vous-même. Soyez patients et bienveillants envers vos fêlures, vos doutes et angoisses. Faites-vous confiance. Acceuillez vos émotions. 

Faites un pas de coté. Choisissez la lenteur, la beauté et la poésie. La vie semble plus douce quand on l’observe avec tendresse.

Etre mère et entrepreneuse

Depuis la naissance de mon fils, je ne maitrise plus grand chose. Je compose, j’essaie, je me tords le ventre de ce que je fais, de ce que je ne fais pas, de ce que j’aurais dû faire autrement. J’essaie de trouver l’équilibre. Je le trouve rarement.

J’essaie d’être là, d’être partout. De profiter, d’être organisée, de ne pas faire trop d’erreurs malgré la fatigue, malgré les nuits hachées. Je me relis. Je profite de chaque sieste de mon fils pour travailler – comme à l’heure où je vous écris. J’oublie de dormir. J’oublie de créer. 

Je sais aussi que tout passe. J’ai fait le choix de ne pas faire garder mon fils avant ses six mois et de l’allaiter exclusivement. Je mesure, chaque jour, ma chance de pouvoir vivre ses instants précieux, et si furtifs, avec lui. J’oublie tout dès qu’il me sourit.

C’est drôle parce que, chaque fois que je vous croise, vous me dites et félicitez “c’est formidable, tu arrives à concilier maternité et Les mots à l’affiche”. Je souris, et si la remarque me fait plaisir et réconforte ; je sais que la réalité est loin d’être aussi simple.
Je crois que ma responsabilité est de ne pas vous faire croire le contraire. Mon bébé me comble de bonheur. La réalité, c’est aussi des noeuds dans le ventre – et un bébé mignon, par intermittence – qui me réveillent la nuit, de la fatigue, et du stress. La réalité, c’est beaucoup de retard et un chiffre d’affaires bien plus bas que les années précédentes.
C’est avoir souvent peur de mon entreprise. La réalité cache une prospection absente pour les professionnels (d’ailleurs, si vous souhaitez faire vos voeux pour votre entreprise avec nous, notre catalogue est disponible sur demande). Elle cache une collection de janvier que je ne parviens pas à écrire. 

Je ne sais pas trop comment la période de Noël, qui se veut intense, va se dérouler. Je ne sais pas encore comment je vais communiquer, travailler, jongler. Je ne sais pas grand chose, je navigue à vue mais je sais que je vais faire au mieux à la fois pour être présente pour mon entreprise, mon amoureux, ma famille et pour mon fils.

Bonjour l’Automne !

Je n’ai pas vu passer ces derniers mois. Hier encore, j’avais un bébé dans le ventre. Et quand, au milieu de l’été, il a décidé de naître, il est devenu mon soleil. Il a tout éclipsé. Les obligations, les devoirs, la mer. 

On est en automne et j’ai un bébé dans les bras qui grandit, qui me sourit quand je lui chuchote des mots tendres, et qui me rappelle, chaque jour, combien un être vivant peut incarner la douceur, l’amour et la délicatesse.

On est en automne. On est en automne déjà et c’est l’heure de ralentir, de prendre soin de soi, et de son intérieur. C’est l’heure d’un thé brulant, des livres dévorés au coin du feu et de s’entourer de mots doux. 


Et ça, c’est une merveilleuse nouvelle.

Psst, j'ai un cadeau pour vous !

Cette semaine, j’ai 37 ans… et, pour fêter ça,  je vous offre une affiche intime et exclusive qui me guide et m’accompagne depuis quelques mois.

💌 Inscrivez-vous au Cercle privé pour la recevoir