Vivre d'amour
et de poésie

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

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Je m’appelle May. Je suis la fondatrice de Les mots à l’affiche

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Et vous, en quoi croyez-vous ? 

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On s’y dévoile vulnérables et sincères. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Vingt-deux jours

 

Cela fait plus de vingt-deux jours que j’ai tiré les rideaux de la boutique. Depuis, j’ai l’impression qu’il s’est passé des années.

Vous avez été plus de quatre-vingt à passer une commande directement sur Les mots à l’affiche ou à passer une commande pour une affiche personnalisé (merci merci !), des dizaines à m’écouter en parler et à me conseiller. J’ai souri quand vous me disiez que l’affiche naissance était parfaite et que vous voudriez l’affiche je t’aime à votre amoureux.

J’avance, je réfléchis, je suis sûre de moi et le lendemain, je découvre une solution qui me semble plus adaptée. J’écris des affiches dans ma petite tête. J’ai des poignées de mots qui débordent et des idées lumineuses – et, aussi et souvent, à la con. Alors, je fais demi-tour.  Pour la première fois de ma vie, je m’autorise à rêver en majuscule. J’imagine des partenariats avec des personnes que j’admire. J’oublie les limites et je prends doucement mes marques. Et même si je meurs d’impatience de voir tout ça prendre forme, j’essaie de ne pas courir et de prendre le temps de savourer chaque étape.

Et, vous savez, à chaque fois qu’on me dit que lorsque je parle de Les mots à l’affiche, mon visage s’illumine ; je serre fort ma chance.

 

Point juridique

 

Ces deux photographies, je les ai prises la semaine dernière juste après mon rendez-vous avec Sandra et notre point juridique pour le lancement des mots à l’affiche. Le ciel était bleu et cela sentait encore l’été à Paris. On a pris un café, en terrasse, au jardin du Palais-Royal. C’était quatorze heures, peut-être quinze, et c’était doux.

Je me souviens mettre dit que la vie est folle et belle après ce rendez-vous là. Que jamais, il y a dix ans, je me serais imaginé ici là maintenant. Je suis rentrée à pieds et j’avais un immense sourire sur les lèvres.

Je me souviens de tout ça et je ne sais pas encore comment évoluera le projet. Je sais en revanche qu’il me rend déjà immensément heureuse et je crois que c’est, finalement, l’essentiel.

Et respirer

Affiche travail

 

Le week-end dernier, cela faisait deux semaines, pile poil, que j’ai ouvert Les mots à l’affiche Deux semaines que je mange-pense-dors avec la pensée obsédante de mes mots et de mes affiches. Que je cherche comment les faire grandir de la meilleure des façons.

Deux semaines avec l’envie de faire mille choses et en m’endormant chaque soir en me répétant qu’une journée passe décidément bien trop vite. Et que oui, la vie est folle et surprenante.

Le week-end dernier, et pour la première fois depuis deux semaines, je me suis éloignée de mon ordinateur pour profiter de la vie, la vraie. J’ai assisté au plus beau des mariages. J’ai fait une pause. J’ai respiré. C’était doux – et puis, j’ai triché un peu, j’ai quand même pris une jolie photographie de l’affiche travail aux Archives, un restaurant et hôtel où je rêvais d’aller depuis que j’ai déménagé de Poitiers.

Je reviens quarante-huit heures plus tard avec une énergie retrouvée et une poignée de nouvelles idées. C’est doux de réaliser ses rêves.

L’affiche Vivre

Cette affiche, l’affiche Vivre, j’avais hâte de la déposer sur le journal et de vous en parler un peu plus longuement.

L’affiche Vivre est la toute première que j’ai créé et que j’ai mise à la vente il y a deux ans. On était en décembre 2016. Début janvier, cette affiche s’est retrouvée partagée des milliers de fois sur les réseaux sociaux . Vous l’avez d’ailleurs peut-être vu.

L’affiche Vivre, je l’ai écrite au Mexique lors d’une période un peu compliquée et en me demandant ce que je me souhaitais, ce que je voulais pour les mois à venir. J’ai écrite l’affiche Vivre comme un mantra, comme une promesse que je me faisais. Je l’ai écrite pour me dire que oui, dans quelques mois ou années, la vie me semblerait à nouveau un peu plus douce et simple.Je l’ai écrite pour prendre du recul et me donner un peu de force.

L’affiche Vivre est une affiche intime et qui a finalement un écho universel. Je crois qu’elle parle à beaucoup de monde. Elle s’est retrouvée, début 2017,  propulsée pour la nouvelle année dans tous les lieux cultures de Toulouse. C’était incroyable.

Cette affiche, c’est aussi mes mots porte-bonheur, parce que deux ans après, c’est grâce à elle que je me fais confiance et que j’ose cette belle aventure aujourd’hui. C’est une affiche magique, voilà.

Vous pouvez comment l’affiche Vivre sur la boutique au format A2 et cartes postales.

Affiche voyage (manifeste du voyageur)

J’ai mis des mois à écrire l’affiche Voyage, ce manifeste du voyageur.

Chaque fois que je prenais un vol long courrier, j’ajoutais quelques mots. Chaque fois que je voyageais, j’en gommais d’autres. L’affiche Voyage a été imaginée aux quatre coins du monde. J’ai écrit les premiers mots, au dessus des nuages, entre Munich et Singapour en avril dernier. Je n’avais encore aucune idée à quoi ressemblerait Les mots à l’affiche ni si la boutique verrait le jour. Mais, j’étais au dessus des nuages, j’écrivais le voyage et j’avais un immense sourire collés à mes lèvres. J’ai continué à écrire à Malte, au Chili, en Guyane, au Maroc. J’ai continué à écrire et à laisser infuser mes rêves.

J’avais des tonnes de notes dans mes carnets et sur l’ordinateur où j’écrivais ce que représentait le voyage à mes yeux, ce qu’il m’apportait et pourquoi je voyageais. J’écrivais la nécessité de s’éloigner pour mieux se retrouver, pour se découvrir. Puis, il a fallu synthétiser et ne conserver que l’essentiel. Il a fallu à réfléchir à l’essence même du voyage, à ce que je voulais retenir de ces chemins de traverse empruntés et de ces fuites vers l’inconnu, les images que je voulais avoir en tête quand je lirai ces mots lors de mes retours de voyage et que je pourrais glisser, au format carte postale, lors de mes envolées.

Je voulais des mots qui sentent bon les voyages, les rencontres et l’évasion. Je voulais que cela soit à la fois doux et poétique. Je voulais aussi des mots rassurants.

L’affiche Voyage est disponible dans la boutique en ligne au format A2 (40×60). Elle existe également au format carte postale pour amener en voyage : découvrir l’affiche voyage.

Les journées inspirantes

 

Depuis le début de l’année, je fais partie d’un groupe de Master Mind orchestrée par Clotilde Dusoulier et Delphine Desneige : les journées inspirantes. Un groupe de Master Mind est un groupe d’entrepreneurs qui se réunissent pour échanger et s’entraider sur leur quotidien. C’est avant tout un groupe bienveillant, positif et sans jugement. On se confie, on se questionne, on partage nos ressentis.

Je suis indépendante depuis six ans. Peu à peu, je ressentais le besoin d’échanger et de partager mes petites victoires et mes gros chagrins (si, si, il y en aussi !) du quotidien. Créer son entreprise, c’est un peu les montagnes russes des émotions. Alors, depuis neuf mois, je m’offre tous les deux mois un rendez-vous parisien,  une pause vivifiante dans mon quotidien.
Ce rendez-vous inspirant est le moment de me recentrer, de penser à ce qui me rend heureuse et de prendre aussi du recul sur mon activité et mon organisation. Le groupe m’encourage à prendre confiance en moi, me pousse à me questionner sur mon organisation et mes habitudes, et à sortir de ma zone de confort. C’est un formidable outil pour m’aider à me dépasser et à croire en moi.

Je reviens, à chaque fois, de ces escapades parisiennes et des échanges avec le groupe de Master Mind avec un regain d’énergie et avec une confiance retrouvée. Je me sens écoutée, encouragée et poussée pour donner le meilleur de moi-même – tout en sachant que l’on me tendra la main si je trébuche pour me relever ou pour m’aider à monter sur la marche supérieure.

Lors de notre première rencontre en janvier, on a réfléchi à nos rêves et objectifs pour l’année à venir : qu’est-ce qui fera qu’en décembre prochain, on pourra dire que 2018 fut une année réussie ? J’ai pris le temps de réfléchir – prenez le temps de répondre à cette question vous aussi, vous verrez le bien que cela fait de se centrer sur ses rêves.  A cette question, je n’avais pas de réponse immédiate.  D’ailleurs, cela m’a beaucoup étonnée. Depuis quelques années, j’avais oublié de rêver et je me laissais porter. Alors, je n’ai pas répondu le jour-même et j’ai pris le temps doucement d’y réfléchir.  Quelques jours plus tard, je notais sur la première page de mon moleskine : avoir trente ans et ouvrir ma boutique de mots et d’affiches.

Alors, hier, j’avais hâte d’annoncer au groupe, à ces journées inspirantes, que ça y est, oui, ma boutique d’affiches, Les mots à l’affiche, est né et que c’est grâce aussi au groupe et à son soutien sans faille depuis janvier. Je ne sais pas vraiment comment évoluera la boutique, mais je sais déjà qu’elle me rend très heureuse.

Aujourd’hui, je suis sur un nuage. J’ai reçu de l’amour et de l’encouragement pour les mois à venir.
 
 


 
 

Affiche naissance « mon enfant »

Affiche naissance mon enfant

 

Hier soir, je publiais une photographie de l’affiche que j’avais imaginée pour les naissances. J’avais beaucoup réfléchi pour le terme qui l’accompagnerait et qui désignerait l’enfant. Je voulais un terme à la fois doux, poétique, élégant et épicène pour éviter de devoir imprimer deux versions, sans pour autant qu’il soit kitsch ou trop familier. J’ai cherché, j’ai demandé autour de moi. J’ai fini par choisir « mon minuscule ». Et puis, en postant l’image de l’affiche, vous êtes plusieurs à m’avoir dit que vous n’aimiez pas trop ce terme et l’image qu’il renvoyait, que votre minuscule vous dirait qu’il n’est justement pas minuscule rapidement.

Et puis, l’évidence quand une de vous m’a parlé de « mon enfant ». Cette évidence qui était tellement évidente que j’étais passée à coté. Cette chanson – sûrement ma préférée au monde, de Biolay qui répète et murmure « mon enfant » en écho et qui fait sens depuis. Et puis, oui, bien sûr, bien sûr, c’est mon enfant le second terme parfait et neutre. Alors, ce soir, j’ai envoyé chez l’imprimeur cette seconde version et je l’ai mise en pré-commande sur l’affiche de naissance mon enfant. Vous pouvez bien sûr toujours commander l’affiche de naissance « mon minuscule ».

J’ai mis la version numérique en ligne et j’ai un immense sourire grâce à vous. Parce que ma boutique de mots et d’affiches, je l’imaginais comme ça. Je l’imaginais comme un échange avec vous sur les mots et nos ressentis à travers eux, et des créations à mille et un regards qui en découleraient.

Alors, ce soir, j’ai un immense sourire et c’est totalement grâce à vous.

 

Affiche naissance mon minuscule

 

 

Une semaine après

 

Alors, voilà, la boutique est ouverte. Cela fait une semaine.

Et depuis une semaine, je peux partager avec vous ce qui me tiens éveiller depuis plusieurs mois et qui fait briller mes yeux. Je peux en parler et vous dire combien ce projet compte à mes yeux.

Je peux enfin vous dire qu’avant de l’ouvrir, on a déjà passé mille heures en tête à tête elle et moi. Que la première maquette graphique est née lors d’un vol long courrier Paris-Cayenne, et que c’est à Paris quelques jours avant que le nom Les mots à l’affiche est apparu comme une évidence durant une nuit d’hiver.

Je peux vous murmurer, sourire aux lèvres, que je l’ai développé cet été au bord de l’océan et que j’espère qu’elle sent encore un peu le soleil. Que je m’étais promis de réaliser un projet pour mes trente ans, quelque chose qui ferait battre mon cœur un peu plus fort, quelque chose d’un peu grand, et que donc,  Les mots à l’affiche, c’est ce projet-là.

Que je ne sais pas trop si cela fonctionnera, que bien sûr, oui, je me pose mille questions. Que j’apprends beaucoup et ô combien c’est vivifiant, que je tâtonne et que j’ai aussi très peur. Que j’ai très peur que cela ne fonctionne pas comme je l’ai imaginé, très peur de ne jamais arriver à vendre mes affiches auprès de quelques points de vente, très peur de ne pas parvenir à trouver l’équilibre entre mon entreprise en communication et les affiches.

Mais, qu’au milieu de cette tempête, je porte, tout à coup, en moi une force immense. Je travaille avec rigueur et passion. J’ai mille idées par jours. Je prends le temps de lire et d’écrire. Je liste les choses à faire. Je me projette. Je note mes rêves – j’en ai beaucoup. Et, surtout, oui, surtout, j’ai un sourire collé à mes lèvres depuis l’ouverture de Les mots à l’Affiche.

Le reste ? Le reste, on verra bien. J’ai déjà la certitude que je ferai fait de mon mieux et que cette expérience sera riche de sens et d’apprentissages.

Alors, je respire un grand coup et je vous souhaite la bienvenue. Vous y êtes chez vous.

 

Et ça, c’est parce que vous êtes formidable !

Pour fêter son ouverture, on a décidé de glisser quatre cartes postales surprises dans chaque commande (et on chante, en boucle, « Il fait si beau » de Vincent Delerm en dodelinant de la tête aussi).
Et si vous commandez plus de deux affiches (hors version numérique), on ajoute une affiche surprise au format A3. C’est notre façon à nous de dire merci et combien vous êtes merveilleux.