Le week-end dernier, cela faisait deux semaines, pile poil, que j’ai ouvert Les mots à l’affiche Deux semaines que je mange-pense-dors avec la pensée obsédante de mes mots et de mes affiches. Que je cherche comment les faire grandir de la meilleure des façons.
Deux semaines avec l’envie de faire mille choses et en m’endormant chaque soir en me répétant qu’une journée passe décidément bien trop vite. Et que oui, la vie est folle et surprenante.
Le week-end dernier, et pour la première fois depuis deux semaines, je me suis éloignée de mon ordinateur pour profiter de la vie, la vraie. J’ai assisté au plus beau des mariages. J’ai fait une pause. J’ai respiré. C’était doux – et puis, j’ai triché un peu, j’ai quand même pris une jolie photographie de l’affiche travail aux Archives, un restaurant et hôtel où je rêvais d’aller depuis que j’ai déménagé de Poitiers.
Je reviens quarante-huit heures plus tard avec une énergie retrouvée et une poignée de nouvelles idées. C’est doux de réaliser ses rêves.