Je m’appelle May. Je suis la fondatrice de Les mots à l’affiche.
J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.
L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.
Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.
Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges.
On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On s’y dévoile vulnérables et sincères. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.
On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.
Cette affiche, c’est l’histoire d’Anne. C’est l’histoire de trente ans d’amour. C’est l’histoire d’un amour qui dure, qui grandit et qui s’éclaire au fil des saisons. Cette affiche, ce sont les mots d’Anne pour son amoureux et le papa de ses enfants. Cette affiche, chaque fois que j’y pense, chaque fois que la lit, elle me glisse des frissons. Sûrement, oui, parce qu’elle déborde d’amour, mais aussi parce qu’Anne m’a donné toute sa confiance pour mettre son amour à l’affiche. Je vous souhaite un amour aussi fort et beau que celui d’Anne.
Demain, je pars à la montagne et si vous aviez comme cette idée me remplit de joie.
Je vous l’avais écrit fin janvier lors de mon séjour dans le Tarn : j’avais alors pris cette décision, sur un coup de coeur, de m’offrir à chaque saison, une retraite créative. L’écrire ici, à vous, c’était aussi une façon de m’engager et de ne pas oublier. C’était une promesse que je me faisais.
Demain, donc, je serai face aux montagnes et à mes mots. Demain, le ciel sera bleu
Ils se sont glissés au creux de mon poignée et m’ont portée grâce aux talents des @lesmotsdoux_cie et de @mademoisellenuage. Ils se sont installés dans des points de vente, des hôtels, des maisons d’hôtes et des restaurants fabuleux. J’ai été émue et émerveillée.
A chaque fois, je cherche la belle idée, la belle matière, le beau projet. On me demande souvent pourquoi je ne mets pas mes mots à l’affiche sur un carnet, un tote-bag ou une bougie. J’ai toujours la même réponse : je ne suis pas contre mais j’attends la belle rencontre, le bon moment. Je ne suis pas pressée.
Et alors, avec @lespetitesdecoupes qui m’accompagne depuis plus de deux ans ; cette collaboration fut une évidence. Ensemble, on a pris le temps. On a rêvé-imaginé-exploré. Je suis tellement heureuse et fière de ce duo.
Les porte-clefs, seront proposés mercredi prochain à 9 heures avec une affiche, format mini, Famille en 10 exemplaires au prix de 19 euros. Ils seront uniques, précieux et ils porteront bonheur. PS : non, je ne me laisse pas corrompre à coup de chocolats et de mots doux, voyons. Je ne les réserve pas vu la quantité toute limitée. Mais si ce premier test fonctionne, il est possible qu’on mette d’autres mots sur du bois.
Il y a un peu plus de deux semaines, j’ai réalisé, pour la toute première fois, une séance photo « portrait » avec Marion de Masae Photographie.
C’est sûrement un peu bête, mais je sentais la honte grimper en moi, à chaque fois, qu’on me demandait un portrait et que j’envoyais une photographie où j’étais à moitié cachée par mon ordinateur, par Holly ou par un verre de vin. Je me disais qu’il fallait vraiment que j’ai au moins une photographie « de grande », et que j’avais passé l’âge de ces complexes d’adolescente.
Un pas après l’autre, j’essaie de fendre l’armure et de dévoiler un peu plus ma vulnérabilité : écrire quotidiennement – cela me rappelle le plaisir que j’avais à écrire sur viedemiettes.fr -, accepter quelques audios (en janvier avec France Bleu, en avril sur un très joli podcast, et je voudrais faire quelques lectures de mes affiches avant la fin de l’année) … et, donc aussi de montrer, parfois, ma petite tête. Ce n’est pas simple. J’y vais doucement et à mon rythme. Je prends mon temps.
En lâchant prise, je me rends aussi compte de quelque chose de formidable : nos échanges se transforment et deviennent, par écho, plus authentiques, plus riches et sincères.
Alors, voilà : BONJOUR, JE M’APPELLE MAY. ET TOI ?
Une de mes intentions de 2021 est d’oser : oser entreprendre, oser grandir, oser faire ce que je repousse – par peur – et dont j’ai envie, ou besoin, depuis des mois, et même parfois des années. Une des choses essentielles pour pouvoir continuer à développer Les mots à l’affiche est de parvenir (enfin !) à déléguer.
Cela fait plus de dix ans que je suis à mon compte et que je fais, tout, toute seule. Que je me promets de chercher, et que je fais deux pas en avant et trois, quelques jours plus tard, en arrière.
Je ne sais pas trop ni pourquoi ni comment mais j’ai l’intuition que c’est enfin le moment de le faire, de prendre le temps de ralentir pour aller ensuite plus vite et loin. Je suis heureuse d’avoir attendu parce que si je le fais aujourd’hui, je le fais de manière sereine et apaisée : cela ne m’effraie plus et je sais que c’est le bon moment.
Si depuis que j’ai lancé Les mots à l’affiche, mes parents sont d’une aide (très très très !) précieuse ; je n’ai jamais réussi encore à vraiment déléguer à une personne extérieure – si ce n’est la partie comptable et juridique puisque je n’ai clairement pas les compétences pour.
Alors, voilà, hier matin, une personne est venue m’aider pour la partie administrative et à tout mettre en ordre, à classer, à faire des tableurs, des dossiers et des statistiques – qui est clairement mon gros point noir, parce que même si je ne le fais pas, j’y pense chaque jour et je sais combien ne pas avoir tout en ordre me pèse et me fait défaut pour y voir plus clair. J’ai fini la journée sereine. J’ai eu l’impression d’alléger ce poids énorme qui pèse sur mes épaules depuis des années.
Prochaine étape, trouver une personne, en alternance idéalement, pour m’accompagner au développement de Les mots à l’affiche. Et cette fois, on dit que je ne fais pas que l’écrire ici, et que je prépare une jolie annonce.
En vous, vous osez enfin faire quoi en 2021 ?
– Affiche Oser entreprendre disponible à partir de 4,5 euros juste ici :
Dimanche famille, Dimanche marché, pommes de terre et grillades, Dimanche à se retrouver, à rire, à trinquer, à partager, à se questionner, à s’écouter et à s’aimer, Dimanche à serrer sa chance d’être ensemble et réuni.
Dimanche famille, mot magique. Et vous, quel est votre rituel du dimanche ? ☀️
Un mois, déjà, est passé et j’ai récupéré les mots et affiches que j’avais déposé chez Mily cuts à Toulouse – d’ailleurs, si vous êtes créateurs et que vous souhaitez y exposer votre travail, vous pouvez contacter Emilie. Et si cette expérience m’aura rappelé combien la vie offre de belles surprises quand on sait les accueillir, elle m’a aussi donné l’envie folle d’exposer mes affiches. Je ne sais ni le lieu ni quand ni pour quelle occasion – les trois ans de Les mots à l’affiche -, mais je sais que cela serait déjà drôlement chouette de pouvoir vous rencontrer, échanger et trinquer avec vous, et que vous puissiez découvrir mon travail en dehors d’un écran le temps d’une soirée ou de quelques semaines. Je le glisse dans le carnet à rêves, à côté de dénicher des fleuristes qui seraient enthousiastes à l’idée de proposer quelques cartes à la vente.
Et même si je sais qu’il va falloir être patiente et composer avec la crise sanitaire, ce projet me glisse une belle énergie pour terminer la semaine.
Vous aussi, vous avez une liste de rêves et à idées folles et lumineuses ?
Dans la vraie vie, je suis une fille à fleurs. J’achète des fleurs, j’offre des fleurs. Aux filles, aux garçons – et je crois que j’ai une préférence pour les offrir aux garçons et voir leur sourire inattendu et ému.
Ma mission du printemps – oui, allez, on peut déjà dire que c’est le printemps ? – , c’est de proposer à quelques fleuristes de vendre mes cartes.
C’est l’habitude que j’ai pris depuis deux ans : à chaque fois que j’offre un bouquet, je l’accompagne d’une affiche et de quelques mots ; et le duo me semble parfait.
J’ai pensé que l’idée pourrait plaire à d’autres personnes que moi.