Vivre d'amour
et de poésie

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

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Je m’appelle May. Je suis la fondatrice de Les mots à l’affiche

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Et vous, en quoi croyez-vous ? 

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On s’y dévoile vulnérables et sincères. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

La force des rêves

Hier soir, en cherchant une image pour illustrer ma publication sur cette toute première affiche Vivre, je suis tombée nez-à-nez face à cette photographie.
J’ai souri du chemin parcouru. On était en février 2018. Les mots à l’affiche n’existait pas encore. J’avais fait imprimer quelques cartes postales pour écrire mes vœux, et aussi pour pouvoir en avoir une toujours avec moi. Je travaillais sur un projet de livre avec Azria Avocats et Eyrolles où je m’occupais également des photographies.


Je me souviens avoir trouvé l’idée belle de glisser cette carte sur une des images de livre. Je m’étais dit que cela serait une façon de mettre en lumière ce projet s’il voyait le jour, un jour, que cela l’aiderait peut-être aussi à le faire éclore. Neuf mois plus tard, il était là. Il était minuscule et il s’appelait Les mots à l’affiche. 
Et joli hasard, il naissait le 7 septembre 2018, le même jour où notre guide juridique avec Sandra se glissait dans les librairies.


Ce jour-là, mon blog personne Vie de miettes fêtait ses dix ans et j’ai alors pensé que je n’aurais pas pu lui offrir deux cadeaux plus merveilleux et inattendus. 

Affiche Vivre disponible juste ici à partir de 4,5 euros – elle est magique et porte bonheur, oui :

Des affiches qui ont du sens

Chaque affiche est certifiée, à la main, par un tampon – et beaucoup d’amour lors de sa confection. 


Quand j’ai commencé à évoquer l’idée de tamponner à la main chaque affiche quel que soit le format, la plupart de mes proches m’ont dit : « mais May, tu vas perdre un temps fou, c’est inutile, fais le imprimer directement, au moins pour le format mini ! ».
Comme je suis un peu – doux euphémisme – têtue, je n’ai écouté personne. J’ai passé des heures à tamponner des affiches et à attendre ensuite que l’encre sèche. La nuit, mon appartement se transforme en séchoir géant pour affiche.


Et vous savez quoi ? La merveilleuse nouvelle est que je n’ai jamais considéré ce temps comme du temps perdu : c’est le temps de m’approprier mes mots après qu’ils soient passés chez l’imprimeur. C’est le temps de la lenteur et de la respiration. C’est le temps où mes mots à l’affiche deviennent uniques. 
Le même temps nécessaire lorsque j’emballe, avec soin et délicatesse, chaque affiche dans du papier de soie. Ce n’est pas du temps perdu, non. Ce n’est peut-être pas le temps de la productivité et du profit mais c’est le temps où les mots infusent et où la magie opère. 


C’est sûrement un peu bête mais je trouve aujourd’hui mes affiches tellement nues, et oui je crois aussi avec un peu vidées de leur sens, aujourd’hui avant qu’elles soient tamponnées. 
C’est l’occasion aussi de prendre le temps de relire quelques phrases ou mots.


Après des mois de tests et de tâtonnements, j’ai choisi un tampon discret avec embossage sans encre. J’aime le rendu délicat et élégant. J’ai conservé le tampon doré et bleu marine pour certaines collections et quand je le souhaite un peu plus visible.
Pour le format PDF, je suis restée sur un tampon bleu marine. J’aime tant l’association de l’encre noire associée au bleu.

La vie au ralenti

Je ne pensais pas que vous seriez aussi nombreux hier soir à me répondre que vous vous reconnaissiez tant dans mes mots et dans cette course folle à la productivité. Parce qu’après tout, on ne fait vraiment rien de mal ? Courir, c’est peut-être la prise de conscience que la vie est courte et qu’il est urgent et nécessaire de vivre tout de suite maintenant ? 


Alors faire oui, mais en prenant de le temps de respirer, d’observer le paysage et de s’émerveiller du rire des enfants et du regard pétillant des gens qu’on aime. C’est un joli équilibre à rechercher et apprivoiser. La merveilleuse nouvelle est que l’on a, tous, toute une vie pour ça. Il n’y a pas de recettes magiques mais des pistes, chaque jour, à explorer. 

Ma réponse, la semaine dernière, a été cet après-midi à Auch pour livrer quelques mots et affiches et en profiter pour découvrir la ville, puis cette journée à la mer avec une amie et ce pique-nique le midi face à l’horizon bleu. Et, enfin, ces trois jours improvisés à la villa Toscane, parenthèse enchantée, imprévue et ressourçante à la lisière du Tarn. 


C’est aussi la lecture, au quotidien et en écho, de ces mots « la vie au ralenti » sur le mur de la salle à manger. C’est mon iPhone cassé il y a plus de trois semaines et non remplacé. C’est cette liberté tout à coup retrouvée et cette prise de conscience de ces urgences « pas si urgentes » que l’on s’invente parfois. C’est enfiler des baskets et aller courir à l’aube, au milieu des champs. C’est le ciel qui s’éveille, au petit matin, en même temps que nous. C’est le câlin d’Holly qui s’étire au coeur de l’après-midi et une sieste improvisée avant le repas du soir. C’est l’odeur des grillades et se laisser emporter par quelques notes de piano au coucher de soleil. 


C’est une bouteille de champagne partagée et trinquer aux beaux jours qui arrivent, qui sont finalement déjà là. C’est quelques pas de danse improvisés et cette conviction que le bonheur se trouve dans les choses simples. C’est la petite vie qui éclabousse, qui bouscule, les rêves que l’on projète seul, à deux, ou à plusieurs.

C’est l’apaisement de se sentir à sa place, ici et maintenant.

Affiche Slow life disponible juste ici

Affiche Slow

Je ne pensais pas que vous seriez aussi nombreux hier soir à me répondre que vous vous reconnaissiez tant dans mes mots et dans cette course folle à la productivité. Parce qu’après tout, on ne fait vraiment rien de mal ?

Courir, c’est peut-être la prise de conscience que la vie est courte et qu’il est urgent et nécessaire de vivre tout de suite maintenant ? 


Alors faire oui, mais en prenant de le temps de respirer, d’observer le paysage et de s’émerveiller du rire des enfants et du regard pétillant des gens qu’on aime. C’est un joli équilibre à rechercher et apprivoiser. La merveilleuse nouvelle est que l’on a, tous, toute une vie pour ça. Il n’y a pas de recettes magiques mais des pistes, chaque jour, à explorer. 


Ma réponse, la semaine dernière, a été cet après-midi à Auch pour livrer quelques mots et affiches et en profiter pour découvrir la ville, puis cette journée à la mer avec une amie et ce pique-nique le midi face à l’horizon bleu. Et, enfin, ces trois jours improvisés à la villa Toscane, parenthèse enchantée, imprévue et ressourçante à la lisière du Tarn. 


C’est aussi la lecture, au quotidien et en écho, de ces mots « la vie au ralenti » sur le mur de la salle à manger. C’est mon iPhone cassé il y a plus de trois semaines et non remplacé. C’est cette liberté tout à coup retrouvée et cette prise de conscience de ces urgences « pas si urgentes » que l’on s’invente parfois. C’est enfiler des baskets et aller courir à l’aube, au milieu des champs.

C’est le ciel qui s’éveille, au petit matin, en même temps que nous. C’est le câlin d’Holly qui s’étire au coeur de l’après-midi et une sieste improvisée avant le repas du soir. C’est l’odeur des grillades et se laisser emporter par quelques notes de piano au coucher de soleil. 


C’est une bouteille de champagne partagée et trinquer aux beaux jours qui arrivent, qui sont finalement déjà là. C’est quelques pas de danse improvisés et cette conviction que le bonheur se trouve dans les choses simples.

C’est la petite vie qui éclabousse, qui bouscule, les rêves que l’on projète seul, à deux, ou à plusieurs. C’est l’apaisement de se sentir à sa place, ici et maintenant.

Affiche comme un cadeau slow à s’offrir disponible au format mini, A3, A2 et PDF.

Etre féministe et entrepreneur

Ce soir, je pense aux mots que je lisais la semaine dernière de Sandra de AZRIA Avocats et qui me faisaient sourire. Sandra est la personne qui m’accompagne et me conseille sur le plan juridique et stratégique – Sandra fait beaucoup plus que ça, mais disons qu’on va le résumer de cette façon-là.

Donc, Sandra disait la semaine dernière qu’être entrepreneur, c’étaient embarquer au sein de montagnes russes.Aujourd’hui, j’ai reçu des dizaines de messages et de retours suite à l’affiche sur la journée des droits de la femme. Cela a été l’occasion d’échanger avec vous. Ce soir, j’étais sur un nuage et à me répéter que vraiment, j’avais beaucoup de chance d’avoir un projet aussi aligné avec mes valeurs et mes croyances.

Et puis, j’ai doucement reçu moins de mails. Je me suis dit que cela venait sûrement de l’heure, que c’était l’heure de manger. Je vais, tout de même, sur le site pour vérifier que tout est bien ok. J’avais encore plusieurs téléchargements – et donc des mails associés que j’aurais dû recevoir.

J’essaie de me connecter sur le site du prestataire qui gère l’envoi des mails transactionnels. Cela ne fonctionne pas. Mon identifiant ne semble pas être reconnu. Je respire et je cherche mon ancien ordinateur où je suis sûre que l’identifiant exact y est enregistré. Je reçois un message d’erreur me disant de contacter directement l’équipe. J’envoie un message. J’essaie d’analyser directement sur la boutique en ligne ce qui se passe en attendant la réponse : effectivement, on a dépassé le nombre maximum de mails quotidiens autorisé et je ne parviens pas à me connecter pour l’augmenter. Cela signifie que jusqu’à ce soir minuit, si vous créez un compte sur la boutique en ligne, vous ne recevrez pas de mails de confirmation – cela fonctionne aussi si vous demandez à générer un nouveau mot de passe.

La bonne nouvelle est que vous pouvez tout de même passer une commande et en cas de PDF, télécharger vos affiches directement dans la rubrique « mes téléchargements » (dont l’affiche pour la journée de lutte des droits de la femme)

Voilà, on va dire que c’est l’heure d’éteindre l’ordinateur et de respirer. Que de ne pas pouvoir augmenter le quota de mails m’évitera de prendre un forfait qui aurait été bien trop volumineux le reste de l’année (mais on reçoit bien toutes vos commandes directement sur le site !) , que votre enthousiasme reste une merveilleuse nouvelle envers cette nouvelle affiche et me met du baume au coeur, et que dès minuit, tout devrait rentrer dans l’ordre, d’accord ?

Ceci est un cadeau

Ceci est une main tendue vers toutes les femmes.

Cela fait des années que je pense à écrire cette affiche sur la femme, sur ce qu’est le défi d’être une femme, aujourd’hui, dans notre société. Des années que je repousse l’écriture en ne me sentant pas assez légitime.C’est un peu bête, en tant que femme, de ne pas se sentir assez légitime pour en parler, non ? Ou peut-être que c’est typiquement féminin de ne pas se sentir justement à la hauteur, de ne pas être assez instruite, assez active, assez réfléchie pour avoir le droit de dire, de faire ou de se mettre en lumière. C’est d’ailleurs cette réflexion qui m’a poussée à écrire enfin cette affiche.

Etre une femme, à mes yeux, c’est beaucoup de questions et de paradoxes : c’est un cheminement et un apprentissage constant vers une quête de liberté, d’indépendance et de confiance. C’est un questionnement sur sa place au sein de la société, sur celle aussi de la féminité et du désir dans la construction de son identité. C’est ce que j’ai essayé de transmettre à travers cette affiche : apprendre à oser, à élever la voix quand il faut, à imposer sa place, ses idées, ses différences ou encore son ambition.

Être une femme, c’est une fabuleuse aventure : c’est devenir soi. J’ai imaginé cette affiche comme une affiche réconfortante, solaire et inspirante : une affiche à offrir pour porter, éveiller, éclairer et guider les femmes.

Ce sont les mots que j’aurais aimé que l’on me murmure les fois, toutes les fois, où j’étais un peu perdue et où j’avais du mal à trouver – et prendre – ma place.

Ce sont les mots que je vous offre aujourd’hui et que je vous invite à partager.

Et si vous préférez une version imprimée, l’affiche est disponible juste ici : https://lesmotsalaffiche.fr/affiche/feministe/

Une histoire d’amour et héritage

Aujourd’hui, j’ai une pensée particulière pour toutes les grands-mères et cette place qu’elles représentent au sein d’une famille.
Je pense à celles qui ne sont plus là. Je pense à mes deux grands-mères qui veillent aujourd’hui sur ma famille et moi.

Je pense à leurs histoires et, à travers elle, à notre histoire familiale. 
Je pense aux valeurs, à leur force et au courage qu’elles m’ont transmis toutes les deux. Je pense en leur beauté et élégance. Je pense aussi à leur indépendance et ambition. J’aime penser que je porte en moi un morceau de leur histoire.

Je pense à ma grand-mère, qui suite au décès de mon grand-père, quelques mois après être arrivée en France ; a élevé, seule, dans un pays où elle ne parlait pas la langue douze enfants et s’est débrouillée pour qu’aucun ne manque de rien. 
Je pense aux anecdotes et histoires qu’elles me racontaient et qui me semblaient alors être d’un autre temps et qui me passionnaient tant. Je pense à toutes les questions que je n’ai pas osé poser et tout ce que je voudrais savoir aujourd’hui. Je pense à ces plats mijotés dont elles avaient le secret et qui transformaient chaque repas en un jour de fête.

Je pense à ce lien entre ma mère et sa mère, mon père et la sienne.  Je pense aux silences et à la place qu’elles ont laissé. Alors, j’invente. Je regarde les photographies de famille. Je crée. Je pose des questions à mes parents. J’écris des histoires. J’imagine. 
Je pense à la famille que mon père et ma mère ont créé ensemble, à ma place dans celle-ci. Je pense à celle que je créerai à mon tour peut-être un jour. Je pense à cette histoire que l’on continue d’écrire et d’inventer chaque jour. Je pense enfin à ces deux mots « transmission » et « héritage » qui me semblent si magiques et précieux.

Je pense à vous, peut-être, aussi : à toutes les personnes qui n’ont pas eu la chance de grandir dans une famille aimante et combien ces mots peuvent parfois être violents. 
Si vous avez la chance d’avoir une mamie encore là et présente : dites-lui combien vous l’aimez, combien elle est précieuse dans votre vie et posez lui toutes les questions qui éclaireront votre histoire.
C’est important : il arrive toujours un jour, toujours trop tôt, où l’on se mordille les lèvres de ne pas avoir prononcé l’essentiel.  

Affiche Mamie disponible sur Les mots à l’affiche

La première séance photo

Hier, on a réalisé la toute première séance photo pour avec des personnes extérieures. C’est le défi de 2021 : réaliser chaque mois une séance photo avec Marion.

L’idée derrière chaque séance est aussi de me forcer à m’organiser un peu mieux (et grandir !) : prévoir en amont un thème, une ligne directrice et quelques jolis visuels à partager avec vous. 


C’est aussi de sortir de ma zone de confort, apprendre doucement à déléguer – et d’ailleurs, c’est très drôle, depuis que j’ai décidé que Marion photographierait les affiches chaque mois et en retirant un petit poids sur mes épaules, je retrouve doucement le chemin de mon appareil photo. 

Et si c’est une idée qui m’enthousiasme beaucoup, c’était aussi, comme souvent lors des premières fois, quelques peurs : chercher des personnes qui voudraient bien se laisser photographier, trouver un joli lieu (d’ailleurs, si vous avez un joli lieu à me proposer à Toulouse et sa périphérie, vous pouvez m’écrire à may@lesmotsalaffiche.fr), organiser et faire en sorte que l’on passe tous un chouette moment. Et, je crois que cela s’est plutôt bien passé ! 


Alors, si vous vous posez la question : oui effectivement, c’est un peu tard pour la fête des grands-mères, mais qu’importe, on en a profité pour photographier d’autres affiches, et puis, sa mamie, on l’aime toute l’année, non ? 
Et surtout, ce matin, je suis un peu fière de moi : je ne voulais pas me trouver une excuse pour annuler et consoler mes peurs. Alors, oui, on a fait cette première séance un peu tard, on apprend et on s’organisera mieux pour les mois à venir. 

Et si l‘affiche Mamie vous plait, elle est disponible juste ici.