Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Vivre de sa passion

C’est dimanche-affiche. C’est dimanche. Je suis au bord de la piscine et j’ai mon ordinateur avec moi. Je profite de ma famille. A midi, on a allumé le barbecue. Il fait soleil. J’écris. Je dessine. J’imagine. Je saute dans l’eau. Le temps est doux.
J’ai cette chance incroyable de pouvoir travailler de partout. A la montagne, à la campagne, au bord de la mer. De l’atelier. De chez amis ou de chez mes parents dans le jardin.

Aujourd’hui, c’est dimanche-affiche. C’est dimanche-créatif. Je fais partie de celles qui ne savent pas vraiment couper. Qui vivent pour, avec, leur passion. Qui vivent de leur passion.

C’est une chance incroyable qui me colle des frissons à chaque fois que j’y pense. C’est aussi la petite fatigue parfois d’avoir ce projet qui clignote en permanence dans la tête et de vouloir le faire grandir au mieux, tous les jours, tout le temps. D’avoir des tas de choses qui clignotent dans la tête le matin l’après-midi la nuit. C’est l’envie dévorante quand je ferme les yeux d’être déjà le matin pour continuer à le faire avancer.

C’est ne pas connaître le bouton pour « éteindre la lumière » à l’intérieur et se dire, que c’est quand même chouette, de ne jamais être « éteinte » finalement.