Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Offre de stage

C’est Marion qui a pris cette photographie.

Cet hiver, Marion a partagé mon atelier durant quelques jours. Marion était en stage. C’est drôle parce que quand j’étais étudiante, j’avais toujours l’impression que je n’arriverais jamais à trouver un stage. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, et durant l’entretien, de ne pas parvenir à transmettre ma passion.

Et puis, Claire, puis Marion ont toqué à la porte de l’atelier et sont venues, quelques semaines plus tard, en stage. Et c’est moi qui ai eu alors peur : peur de ne pas être à la hauteur, peur de transmettre des mauvaises habitudes et mes journées pas toujours très organisées et qui partent dans tous les sens, peur de ne pas avoir les compétences, l’expérience et la rigueur pour transmettre mon savoir.

Alors, aujourd’hui, je souris de la May d’il y a dix ans qui se faisait un monde de trouver un stage. Qui avait l’impression que la force était d’un côté, l’incertitude de l’autre. J’ai fini par comprendre, que dans ce cas-là, tout le monde a peur, qu’il n’y a pas de place plus confortable. Mais que, d’un côté comme de l’autre, quand on s’apprivoise, cela devient un peu magique : de transmettre, d’apprendre et de partager.

D’ailleurs, si vous voulez faire un stage à l’atelier, vous pouvez me glisser un petit mot à may.arobase.lesmotsalaffiche.fr en m’écrivant à quoi ressemblerait votre stage idéal.

Cela fait des mois que je repousse la rédaction d’une annonce. En attendant (je l’écris ici pour arrêter officiellement de repousser), tous les couteaux suisses créatifs et enthousiastes sont les bienvenus.