Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

L’atelier à Toulouse

Sur la photographie, c’est le nid-atelier.
Sur la photographie, c’est mon nid-atelier à Toulouse.

Je ne sais pas si j’en ai déjà parlé par ici. J’ai acheté l’appartement que je louais, depuis cinq ans, en juin dernier. Si cela peut paraitre pas grand chose ou un passage obligé pour beaucoup. Pour moi, cela signifiait beaucoup. Cela signifiait un lieu sécurisant et nécessaire pour créer de manière apaisée – si vous avez créé une entreprise un jour et cherché un appartement à louer, je suis sûre que vous savez très bien de quoi je parle et si je n’obtenais pas le prêt, c’était la belle aventure qui m’attendait. Cela signifiait aussi que des personnes « qui aiment bien les chiffres » me faisaient confiance, croyaient en la viabilité de mon entreprise pour accepter le prêt. Cela signifiait que même si j’avais fait le choix d’être indépendante, j’avais moi aussi le droit d’avoir un espace à moi, et plus que tout, un espace où je me sens bien et libre. Ce n’était qu’une signature et pourtant cela symbolisait beaucoup.

Depuis ce 27 juin, à chaque fois que je pousse la porte de mon appartement, j’ai un énorme sourire aux lèvres. Alors et même si cela implique encore des tas de nœuds dans le ventre (parce que forcement, il y a eu des dépenses et des poignées de choses imprévues), je sais que ce n’est pas l’essentiel et que ce n’est pas ce que je retiendrai dans cinq dix vingt ans.
L’essentiel est que j’ai mon nid-atelier à moi, que je m’y sens en sécurité et que cette sécurité est essentielle pour entreprendre.

D’ailleurs, si vous êtes à Toulouse, vous êtes les bienvenus si vous souhaitez venir récupérer votre affiche et boire un chocolat chaud – glissez-moi  juste un petit mot avant que l’on convienne d’un moment ensemble.