Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Portraits de France à Toulouse

Cette photographie, je l’ai prise (très) rapidement avant d’aller confier ces deux affiches à La Chapelle du dôme de la Grave dans le cadre de l’exposition Portraits de France qui débute aujourd’hui au réfectoire de la Grave à Toulouse. 


Allez-y, c’est génial : à la fois pour découvrir la rénovation du dôme de la Grave mais aussi des figures de l’histoire de Toulouse et de France. J’ai eu l’impression d’agrandir ma carte mentale des personnes qui font partie de notre histoire commune. J’en suis sortie vivifiée et avec l’envie d’en savoir bien plus. 

Cette photographie, je l’ai prise pour me souvenir de mon audace d’avoir osé un matin, les joues rouges et les mains tremblantes, déposer mon travail au sein d’une boutique des musées de Toulouse : parce qu’on ne sait jamais, parce que cela serait chouette de voir mes mots dans ces lieux-là, parce que l’idée faisait pétiller mes yeux. Et parce que la seule chose que je risquais, après tout, était un refus ou un silence. 

Cette photographie, je l’ai prise parce qu’elle symbolise aussi une belle avancée. Depuis le lancement de Les mots à l’affiche, j’ai en tête de m’orienter vers la culture, et plus particulièrement, sur l’accessibilité à celle-ci. 

Cette photographie, je l’ai prise enfin parce qu’elle me rappellera, les jours de pluie, de croire en mes rêves et de persévérer pour les atteindre. 

Alors, voilà, les affiches Portraits de France et la Déclaration des droits de l’hommes en édition limitée à La Chapelle de la Grave jusqu’au 2 avril. Vous retrouverez une sélection des affiches de Les mots à l’affiche également au couvent des Jacobins à Toulouse.