J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.
L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.
Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.
Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges.
On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.
On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.
En mars dernier, je découvrais, depuis mon appartement toulousain, les voyages intérieurs. Je voyageais en Asie avec Henri Michaux. Je tombais amoureuse à Hiroshima avec Marguerite Duras. Je découvrais la force des paysages de la Bretagne avec Olivier Adam. J’apprenais, contrainte, à ralentir.
Puis, quelques mois, plus tard, à mon tour, je faisais mes bagages. Le confinement prenait fin. Je troquais les vols longs courriers contre des trajets en train, en vélo et en voiture. En tordant le coup à mes habitudes, la crise sanitaire a éveillé ma curiosité.
Et quel bonheur, de prendre le temps de découvrir enfin la France, ses villes et villages encore inconnus – ou quelle drôle d’idées de ne pas avoir pris le temps de le faire avant.
J’ai ouvert les yeux. J’ai marché en forêt, en montagne, au milieu des vignes, au bord de la mer. J’ai observé les couleurs du ciel. Je me suis perdue dans des villages minuscules. J’ai bu
J’ai appris, enfin et l’essentiel, que l’on n’avait pas besoin d’être au bout du monde se sentir « en vacances ».
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Affiche France disponible au format mini, A3 et A2.
En décembre 2016, je proposais à la vente l’affiche « Vivre ». Je l’ai mise en vente sans vraiment réfléchir. Comme souvent, j’ai écouté mon intuition. Je l’avais écrite, au Mexique, quelques semaines avant, lors d’une période un peu compliquée, comme une promesse que je me faisais.
Je l’ai proposée à la vente avant de commander la version imprimée, en me disant que si personne ne la commandait, il me suffirait de ne pas passer la commande. Finalement, et quelques jours plus tard, j’en ai fait imprimer 250 exemplaires – en tremblant beaucoup, oui. J’ai vendu la totalité des exemplaires en quelques semaines.
Suite à cela, je me suis beaucoup questionnée sur ce que je voulais faire, ce qui me rendait vraiment heureuse et si je voulais poursuivre la commercialisation de cette affiche, voire créer de nouvelles affiches. Je me suis laissée quelques mois pour y réfléchir.
Deux ans plus tard, j’ai su que je voulais vendre mes affiches : qu’écrire, les mettre en forme et me dire que mes mots prendront vie et accompagneront d’autres personnes et les rendront peut-être aussi un peu heureuses. C’est ça, qui par ricochet, me rend aussi heureuse.
Alors, c’est le cadeau que j’ai décidé de me faire pour mes trente ans : créer mes affiches inspirantes et les proposer à la vente. C’est comme ça que Les mots à l’affiche est né.
@ 2024 – Les mots à l’affiche : création de posters, cartes et d’affiches thématiques avec des textes, phrases et mots inspirants, à Toulouse, en France
Site développé, avec amour, par May Lopez
