Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Les mots fondateurs

Quand j’ai lancé Les mots à l’affiche, j’ai cherché durant des mois un meuble d’imprimerie ancien pour y ranger les affiches. Je n’étais pas pressée, mais je savais qu’il marquerait, d’une certaine manière, le début de l’aventure. Je veux dire que cela ne serait plus un test, un tâtonnement ; mais que oui, c’était bien un projet qui allait continuer de grandir et de s’épanouir au fil des années. 


Ce type de meuble métier est finalement assez couteux et rares – enfin quand on débute, et que l’on a mis toutes ses économies dans l’impression des premières affiches.
J’ai mis plus d’un an à le trouver. J’avais mis des alertes sur les sites de seconde main. J’allais à des brocantes et vide-greniers. Je cherchais. J’ouvrais les yeux. Un samedi matin, je suis tombée, nez à nez, face à lui. Je suis repartie, dans ma petite Clio, avec quelques minutes plus tard. 
Rentrée à la maison, je me suis rendue compte qu’il manquait quelques centimètres pour y ranger mes affiches. On a, avec mon papa, modifié chaque tiroir pour pouvoir y glisser les affiches. 


Depuis, il me rappelle chaque jour l’importance de la patience, la force et la beauté de la tradition et de l’artisanat – et les doigts de fée et l’ingéniosité de mon papa. 
Il est un tremplin entre l’ancien et le moderne, entre l’imprimerie traditionnelle et mon désir de rentre accessible la littérature et à l’écriture. 


Et vous, vous avez chez vous des objets fondateurs ? Vous nous racontez ?