Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Le talent des autres

Chaque fois que je regarde ces photographies prises par Emilie Eychenne au Bel Estiu en Dordogne ; je souris. Je souris parce que je vois mes affiches à travers d’autres regards : celui d’Emilie et celui des filles de la maison d’hôtes.

Je découvre mes affiches prendre vie à travers le talent de personnes que j’admire. Je m’étonne de la poésie et de la lumière qui s’en dégage. Je ne les avais jamais vraiment regardé comme ça.

Il y a aussi toutes ces fois où je pousse la porte, pour la première fois, d’un nouvel espace ou concept store qui propose mes affiches à la vente ; et où ça me colle des frissons.

Parce que, oui, c’est souvent bien sûr très beau et je suis toujours touchée de voir mes affiches au milieu d’autres créateurs talentueux, mais aussi, parce qu’au fil des mois, je vois mes affiches devenir plus grandes et autonomes, et prendre un chemin qui parfois me dépassent déjà, un chemin qui me surprend et m’émerveille.

Et, le plus extraordinaire dans tout ça, est que je sais que le voyage ne fait que commencer.