Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Et ouvrir les yeux

Cette photographie, je l’ai prise il y a un peu plus d’un mois. C’était en Espagne, à Lleida.

C’était avant la course joyeuse de décembre. J’avais décidé de prendre quelques jours de repos avant de sautiller partout et de faire le lutin de Noël.
Alors, j’avais réservé un chalet au milieu de nulle part dans le nord de l’Espagne.
Je souris parce que dans la voiture, avant de partir, j’avais glissé quelques affiches « au cas où ». J’ai très peu travaillé durant ces quelques jours. Je m’étais promis de couper et de respirer. J’ai pris quelques photographies des affiches et du ciel – et cela faisait des semaines que je ne n’avais pas touché à mon appareil photo, alors c’était finalement plutôt une bonne nouvelle.

J’ai ralenti. J’ai mangé. Beaucoup. J’ai marché. J’ai bu de la sangria au coin de la cheminée. J’ai observé les flammes durant des heures. J’ai fait la sieste. J’ai oublié de regarder l’heure et mes mails. J’ai mis mon téléphone en silencieux et j’ai désactivé les notifications. Je me suis emmitouflée dans le silence. Je me suis laissée bercer. J’ai imaginé rêvé visualisé les couleurs des semaines à venir. Je me suis émerveillée, chaque soir et chaque matin, des couleurs du ciel.
C’était doux. Doux, simple et beau. Et quand j’ai fermé la porte du chalet le mercredi midi ; je me suis promis, pour 2020, des escapades inspirantes et vivifiantes.

Et vous, quelle est votre promesse avec 2020 ?