Vivre d'amour
et de mots

Une femme aux cheveux longs sourit devant un fond rouge, tenant un cadeau.

May Lopez

J’aime. Créer. Réserver un vol pour un pays, encore, inconnu. Écrire. Imaginer. Photographier. Observer le jour qui se lève et sa lumière bleutée.

L’instant où l’avion décolle. Et puis, la vue par le hublot. La mélodie d’un piano, la beauté d’une rencontre, la douceur d’une pluie d’été. Le bruit de pas sur le parquet. Le silence. La justesse d’un roman.

Je crois en la beauté de la vie. Je crois en l’amour. Je crois en la douceur. Je crois en l’humain. Je crois que les rêves sont faits pour être réalisés.

Le cercle privé

Le cercle est un espace d’exploration et d’échanges

On y parle littérature, entrepreneuriat et créativité. On parle d’amour et rencontres qui éclairent et font battre le coeur un peu plus fort. On s’étonne de la poésie du quotidien et de la beauté des premières fois. On est passionnés, fous et idéalistes. On tremble, on rit, on aime. On a la tête dans les étoiles.

On a des rêves qui n’attendent que d’être réalisés.

Tous les matins du monde

Ce matin, c’est la rentrée. Je suis revenue du Lot hier. 


Sur mon bureau, il y avait déposé une plante et un mot me souhaitant « des étoiles au coin des yeux », à l’instar de ma carte de vœux, pour les mois à venir. 


Même si j’ai beaucoup travaillé durant cette semaine – je dis souvent, en souriant, que je délocalise mon bureau -, ces jours à la campagne m’ont remplie d’énergie et de joie. Ils m’ont aussi beaucoup apaisée. 


Aujourd’hui, je dois recevoir un nouvel ordinateur. Je l’ai commandé en décembre. Si je sentais mon ancien ordinateur vieillir, j’ai eu beaucoup de mal à m’en séparer. Cela fait des années que je répète que cela n’est pas le moment et qu’on verra plus tard.

Au fil du temps, cela me faisait perdre beaucoup – beaucoup – de temps. 
Fin décembre, cela a été mon cadeau d’avoir survécu à cette année de confinements. C’était aussi une belle façon d’envisager 2021 avec un outil de travail plus fonctionnel et performant. 


Mon vieil ordinateur s’est éteint vendredi. J’avais pris le temps, cette semaine, de tout ranger et sauvegarder. J’ai profité du week-end, apaisée et sans écran sous les yeux. J’ai mesuré ma chance et j’ai souri des coïncidences de la vie. 


Et puis, demain, après des mois à donner des cours à distance, je retrouve mes élèves de l’Iseg Toulouse. Et même si je sais que les prochaines semaines s’annoncent compliquées : ce matin, je sais la beauté du monde et je crois en sa magie.